Comment le BTS en commerce international peut aider votre entreprise à se développer à l’international

Les chiffres ne mentent pas : 75 % des PME françaises déclarent manquer de ressources qualifiées pour exporter. Derrière cette statistique, un défi bien réel. La maîtrise des échanges commerciaux entre pays requiert des compétences spécifiques rarement acquises sur le tas. Beaucoup d’entreprises peinent à franchir le cap de l’export faute de profils adaptés à la complexité des marchés étrangers.

Le BTS Commerce International s’impose comme une passerelle directe vers ces opportunités, en formant à la fois des techniciens opérationnels et des négociateurs capables d’anticiper les besoins du terrain. Les diplômés occupent des fonctions stratégiques, du suivi logistique à la prospection de nouveaux marchés, répondant ainsi à une demande croissante des entreprises tournées vers l’extérieur.

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Le BTS commerce international : une passerelle vers le monde

Oubliez l’image réductrice du commercial en déplacement permanent. Le BTS commerce international façonne des techniciens qui comprennent les rouages du commerce mondial, loin de la simple vente. Ce diplôme d’État Bac+2 (120 crédits ECTS) cible ceux qui veulent jouer un rôle actif sur la scène internationale, qu’ils viennent d’un bac général, STMG ou professionnel. Que l’on passe par Parcoursup ou non, la formation attire chaque année des candidats décidés à s’ouvrir à l’international.

Le BTS CI existe partout en France : Paris, Lyon, Bordeaux, Nantes, Strasbourg, Marseille, Aix-en-Provence, mais aussi Lille, Toulouse, Rennes. À la clé, une plongée au cœur des échanges mondiaux, bien loin du simple cours magistral. Le programme ne se limite pas aux bases : il jongle avec techniques du commerce international, import/export, marketing, droit international, et exige de solides acquis en langues vivantes. L’objectif est clair : former des professionnels capables d’être opérationnels dès le premier jour.

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Plusieurs écoles publiques et privées adaptent leurs modalités d’accès : Euridis Business School et le CNED proposent différentes formules, du présentiel au distanciel, pour coller aux réalités de chaque candidat. Le BTS, référencé RNCP 35800, bénéficie d’une reconnaissance officielle partout en France.

Voici un aperçu des modalités d’accès proposées :

• Admission post-bac (général, technologique, professionnel)
• Inscription via Parcoursup ou dossier
• Présence sur les principaux campus en France

En formant des jeunes capables de comprendre et d’agir sur les marchés étrangers, le BTS commerce international dynamise les entreprises françaises et leur donne des atouts pour s’imposer à l’export.

À quoi ressemble vraiment la formation au quotidien ?

Le BTS commerce international propose un apprentissage rythmé, concret, où la théorie n’est jamais coupée de la réalité du terrain. Deux parcours se dessinent : initial ou alternance. Ce dernier impose un rythme précis :

• trois jours en entreprise,
• deux jours en centre de formation.

L’alternance plaît pour une raison simple : chaque notion apprise s’expérimente en direct, tout en bénéficiant d’une prise en charge des frais par l’entreprise et les OPCO.

Le contenu va bien au-delà du simple apprentissage théorique. Les modules couvrent le commerce international, l’import/export, le marketing international, la gestion, le management, l’économie, le droit international. Les langues vivantes étrangères ne sont pas accessoires : anglais, espagnol, allemand, et parfois mandarin ou arabe selon l’école. Chaque semaine, des études de cas rythment le cursus : négociation, analyse de marchés, gestion logistique, tout y passe.

Le passage obligé, c’est le stage de 12 à 16 semaines, dont une partie à l’étranger. Ce séjour hors des frontières est l’occasion de tester ses acquis, de sortir de sa zone de confort et de gagner en autonomie. Le taux de satisfaction dépasse les 95 %. Les retours d’expérience parlent d’une formation riche, ponctuée de projets collectifs, de mises en situation et de vrais contacts avec les acteurs du commerce mondial. Côté réussite, plus de 70 % des candidats décrochent le diplôme, une preuve de la solidité du parcours.

Quels métiers et opportunités après un BTS CI ?

Diversité, telle est la marque du BTS commerce international. Les débouchés sont multiples, et la transition vers l’emploi se fait sans attendre. Les entreprises misent sur ces profils pour piloter des opérations internationales, comprendre les marchés étrangers et gérer toutes les étapes, de la prospection à la livraison.

Voici quelques exemples concrets de postes accessibles après le diplôme :

• Assistant import-export, maillon central du suivi logistique et de la gestion administrative des commandes internationales.
• Assistant commercial international ou assistant ADV export, chargé d’assurer la liaison entre les clients étrangers et les équipes internes.
• Agent de transit, responsable du transport international, en relation constante avec les douanes et les transitaires.
• Acheteur international ou responsable de zone export, chargé d’identifier et de négocier sur de nouveaux marchés.

La palette ne s’arrête pas là. Beaucoup deviennent gestionnaires import-export, chargés d’affaires internationales, coordinateurs interculturels (notamment dans les ONG ou les institutions internationales), responsables logistique ou assistants marketing international. Les fonctions administratives gagnent une dimension concrète, en lien direct avec la réalité du commerce mondial.

L’envie de se spécialiser est forte : près de 90 % des diplômés poursuivent en licence professionnelle, bachelor ou mastère spécialisé pour viser des postes à responsabilités ou la gestion de projets à l’international. Les horizons s’élargissent, la carrière prend une toute autre dimension.

Pourquoi ce diplôme peut booster votre avenir (et celui de votre entreprise) ?

En optant pour le BTS commerce international, une entreprise s’offre une vraie rampe de lancement pour dépasser ses frontières. Ce diplôme d’État (bac+2, RNCP 35800) construit une formation pratique, centrée sur la gestion des opérations internationales et l’agilité face à la diversité des marchés. Au programme : prospection, gestion des flux, négociation interculturelle, et compréhension fine des réglementations.

La formation propose deux voies, alternance ou initial, avec des stages de 12 à 16 semaines à l’étranger dans de nombreux cas. Cette immersion permet aux futurs professionnels de se confronter au réel, d’acquérir des réflexes et de forger leur autonomie.

L’ouverture culturelle se travaille au quotidien. Maîtriser l’anglais, l’espagnol, l’allemand, le mandarin ou l’arabe devient rapidement un avantage pour aborder de nouveaux marchés et convaincre des partenaires éloignés. Les diplômés s’intègrent facilement dans tous les secteurs : industrie, numérique, services, et dans toutes les régions, de Paris à Marseille en passant par Bordeaux, Nantes ou Lyon.

Le BTS CI n’est pas un point final. Licence professionnelle, bachelor, mastère… les opportunités de poursuite d’études s’adaptent à chaque ambition. Des écoles de commerce réputées, comme Euridis (quatrième meilleur bachelor commerce en France), proposent des passerelles vers des carrières globales. Les entreprises y gagnent des collaborateurs réactifs et capables de piloter des projets de développement sur des marchés cibles, en France ou à l’étranger.

La mondialisation n’attend pas. S’armer d’une expertise solide, c’est choisir de ne pas rester spectateur. Le BTS commerce international ouvre la porte à des horizons où chaque frontière devient un nouveau terrain de conquête.